March 29, 2017

Paul Sédir : "Les Miroirs Magiques"

Toutes celles et ceux qui ont un jour voulu pratiquer la magie à un certain niveau se sont penchés sur les "armes magiques" ou les outils du magicien. Dans l'attirail en question, se trouve un outil fascinant et dont il est trop peu fait mention dans la littérature occulte, j'ai nommé : le miroir magique.

C'est avec joie qu'on lira, ou relira, l'un des ouvrages les plus complets du genre - un classique -, écrit par Paul Sédir (Yvon Le Loup). Nous avons là un ouvrage dont la lecture, au niveau de la mise en page, de la police, et de la souplesse de la couverture est très agréable à lire, le livre est léger en main et d'un format qui se glissera dans toutes les bibliothèques. Voilà pour les considérations techniques.


Le réel plus de cette édition est le gros, très gros travail de recherche qui a été effectué lors de l'édition de l'ouvrage, rendant alors clairement pertinente la lecture, ce que l'on retrouve alors dans les notes des chapitres. Nous y trouvons une belle érudition et un travail sincère de recherche afin de permettre au lecteur de peaufiner sa lecture et de l'approfondir. La biographie de l'auteur est clairement un plus qui nous permet de mieux savoir qui va nous guider dans ce livre. J'ai beaucoup apprécié cela. 
En effet, quel intérêt de faire une réédition s'il n'y a pas ce plus ? Et c'est ce plus qui je pense devrait guider les amateurs du genre à se procurer l'ouvrage. Beaucoup de points dans la lecture demandent souvent une explication, un surlignage, et des références, qui peuvent alors guider plus loin le lecteur dans ses recherches.

Dans la présentation du livre sur le site de l'édition on lit : "La force de ce livre réside dans ses non-dits et dans ses nombreuses pistes et perspectives de travail...", et comme c'est exact ! Et ce n'est bien sûr, pas un classique pour rien. Sauf qu'il fallait l'exploiter ce livre, comme un filon minier, et c'est une réussite.

Par ailleurs on appréciera vraiment la bibliographie de l’auteur, la bibliographie de l’ouvrage ainsi que la liste des ouvrages cités et perspectives d’approfondissements. Ceci permet alors au lecteur/chercheur ou curieux, d'avoir une idée de l'ensemble des ouvrages cités dans le livre. Et il y en a... 

Voyons la table des matières  :

Préface de l’éditeur, Biographie de l’auteur : Sédir (1871 - 1926), L'hommage à Sédir de Jollivet Castelot, Préface de F. Ch. Barlet : Les miroirs magiques par Sédir, Notes de la préface, Introduction, Notes de l'introduction                                                

CHAPITRE I : THEORIE
I – L’Invisible, II – La Clairvoyance, III – Le Miroir, Notes du chapitre I : Théorie                             

CHAPITRE II : RÉALISATION
IV – Les Royaumes de l’Astral, V – Les Voyants, VI – Classification des miroirs, Miroir de Swedenborg, Notes du chapitre II : Réalisation                                

CHAPITRE III : ADAPTATION
VII – La Pratique, Lucidité au verre d’eau, Miroir Métallique, Miroirs Saturniens, Miroir de sainte Hélène, Formule de Nostradamus : L’appel, Pour une vision, Pour voir une personne, Exorcisme, Formule de renvoi. Mandeb, Miroir des Bhattahs, Communication d’un esprit planétaire, Notes du chapitre III : Adaptation       

APPENDICES
Les Miroirs Magiques de M. Dupotet, traité par Auguste François Lecanu, Les Miroirs Magiques par Papus : Compte-rendu de conférence, Magie orientale : Le Mandeb par Léon Delaborde, Notes des appendices, Références bibliographiques des annexes

BIBLIOGRAPHIE
Bibliographie de l’ouvrage, Liste des ouvrages cités et perspectives d’approfondissements, Bibliographie de l’auteur

Tables des matières, Tables des illustrations  

On y voit plusieurs illustrations qui agrémentent le livre, et rendent le texte plus visuel. Ce que, personnellement, j'aime assez. Je trouve aussi que la 4 eme de couverture, dans un style arabisant, est une bonne idée.


Qui sont les éditions Ether et Egregore ?

"Maison fondée par passion de l’occulte en 2016, les éditions Ether & Egrégore se spécialisent dans la publication d’ouvrages  rares et anciens, méconnus et oubliés.

Avec comme critères principaux la qualité, la vulgarisation et l’accessibilité des savoirs, les ouvrages que nous vous proposons touchent de près ou de loin à l’ésotérisme et à la spiritualité."

Petite maison d'édition à taille humaine, nous avons fait le choix de vous mettre à disposition des ouvrages en édition limitée, avec des tirages de 50 à 100 exemplaires.

On lit aussi en première page du site : "Maison d'édition française et passionnée, les éditions Ether et Egregore sont spécialisées dans la réédition de livres anciens. Librairie ésotérique, elle propose en édition limitée, des livres rares et anciens à prix éthique."

Tout ceci nous fait aimer cette édition qui se veut de qualité, et il est clair qu'il n'y a rien à en redire, le travail et le rendu est au rendez-vous dans l'ouvrage qu'on a plaisir à lire. On ne peut que féliciter cette édition et tirer notre chapeau en ce qui concerne la démarche.

Je vous invite vivement à faire un tour sur leur page facebook et de la liker :


Mais aussi de regarder leur site internet :


et leur blog :


Vous pouvez aussi vous abonner à leur newsletter.

Vous trouverez cet ouvrage au prix de 15 euros sur leur site.

Je remercie vivement Gaethan pour sa générosité et sa disponibilité.

Caractéristiques techniques de l'ouvrage :
232 pages - Livre au format 14 x 21,5 cm.
Made in France - Imprimer sur du papier PEFC.
Dos carré collé - Papier bouffant ivoire 80g.
Une dizaine d'illustrations en N&B.
Edition augmentée et amplement annotée, limitée à 50 exemplaires.

March 23, 2017

Présentation de la tablette des cercles réciproques

par Bragi Bellovaque



La tablette « Cercles réciproques » est un émetteur d’émissions dues aux formes mis au point dans les années 1960-1970, par M. Jean de La Foye, ingénieur agronome et radiesthésiste amateur français. L'appareil est décrit dans son Livre "Ondes de vie, ondes de mort" comme un :

– Outil de radionique (envoi d’émissions à distances),
– Rééquilibreur d’ambiance (géobiologie),
– Mais surtout un formidable outil d’expérimentation « des émissions dues aux formes ».

Cet appareil fonctionne sur le principe énergétique des émissions dues aux formes, étranges émissions que l'on retrouve sur les mégalithes, pyramides égyptiennes et autres Moaïs...

Comment fonctionnent les émissions dues aux formes ?

Ce serait mentir que de dire que ce qui va suivre est une vérité reconnue par tous. Je parlerai donc d’hypothèses de travail puisqu’à l’heure actuelle aucun outil de mesure autonome n’est arrivé à détecter ses émissions par des résultats chiffrés, reconnus scientifiquement, et ce malgré les effets incontestés de ces étranges émissions « de faibles énergies » sur les processus biologiques. Seuls le sourcier et plus généralement le radiesthésiste et ses pendules sont actuellement capables de ressentir les choses.
Il y a deux manières d’expliquer ses émissions.


1/ L'hypothèse scientifique.

Il s’agit de l’hypothèse du Docteur Laurent Souriau, que j’ai personnellement rencontré. Selon lui, ces émissions auraient pour origine des particules appelées neutrinos, générées localement par notre soleil (et plus généralement par d’autres astres lointains). Au contact du champ électromagnétique terrestre, une très faible partie de ces neutrinos se chargeraient électromagnétiquement et deviendraient des neutrinos monopôles contenant soit une charge positive, soit une charge négative. Par la suite, ces particules auraient la capacité d’être attirées par l’ensemble de leur environnement et plus particulièrement sur certaines formes géométriques agissant comme des accumulateurs permettant de générer des phénomènes inexpliqués. La pyramide en est l’exemple le plus connu. Son effet momifiant ne peut être contredit !
Notre tablette pourrait avoir la capacité de capter ces monopôles magnétiques, de les focaliser et de les diriger vers un point précis.

2/ L’hypothèse « ésotérique ».

C’est l’angle de vue du Groupe Totaris, créé par le scientifique et mathématicien Jacques Ravatin. Selon lui, il existe : un champ de cohérence local, avec ses lois, elles aussi locales (c’est simplement notre réalité quotidienne avec ses repères familiers : l’écoulement du temps par exemple ou vitesse de la lumière) et un champ de cohérence globale, préexistant au nôtre et qui serait à l’origine des phénomènes dits inexpliqués. Ce sont nos fantômes, ovnis et autres phénomènes où l’observateur perd ses repères locaux et a l’impression d’entrer littéralement dans un rêve éveillé. Jacques Ravatin parle de fuite des repères par « cumulo-décalaire ». Pour imager cela, il prenait l’exemple d’un observateur sur une voie de chemin de fer et à qui on demande de compter les traverses. À un moment, les traverses se perdent à l’horizon, en un seul point. Il y a fuites des repères et entrées dans le global (c’est comme mettre deux miroirs l’un en face de l’autre… Certains objets seraient capables d’être partiellement immergés dans ces deux réalités ou champs de cohérence. C’est peut-être le cas de notre tablette.


Comment fonctionne la tablette ?


Dans les années 1970, c’est Jean de La Foye, ingénieur agronome français et radiesthésiste qui, au contact du conte André de Bélizal, a développé cette planchette émettrice. Elle fonctionne grâce à 4 concepts développés par M. de La Foye :

1/ la notion d’émissions couleur d’un corps polarisé (12 couleurs non manifestées sur le rayon du cercle et 24 couleurs manifestées sur le double du rayon) via l’étude de la sphère, du disque équatorial et de l’étude du champ vital ;

2/ la présence d’axes directeurs du champ d’émissions dues aux formes via le tétragramme hébreu carré « JE SUIS » représentant le nom de Dieu ;

3/ la loi de compensation ;

4/ le champ vital.


1/ Les 12 couleurs non manifestées du champ de Belizal et les 24 couleurs manifestées

E:\Users\jclemouel\Desktop\Geepi\Cadran.jpg

Tout commença lorsque le Conte de Belizal et M. Chaumery étudièrent les étranges caractéristiques d’une bague antique égyptienne aux propriétés vibratoires étonnantes (bague atlante) et à l’étude d’un étrange objet de la même provenance (pendule égyptien). Les deux chercheurs amateurs se rendirent compte que certains objets aux formes spécifiques (géométriques) avaient la capacité de se charger d’émissions inconnues, capables d’agir sur leur environnement proche et lointain. (ils reprirent eux-mêmes le travail de Enel). En clair, les civilisations anciennes avaient connaissance d’un langage entre de la Matière et l’Esprit.

Afin de partir sur des bases solides, ils repartirent de l’étude de la forme géométrique la plus simple qui soit : la sphère. Armés d’un pendule et d’un stylet, ils mesurèrent les émissions présentes sur une boule de bois et découvrirent qu’elle était le siège d’émissions que par convention mentale, ils nommèrent « de couleur ». Pour l’anecdote c’est avec des petits chiffons de couleurs, en guise de témoins, qu’ils trouvèrent ces émissions…

Fait important, les 12 émissions, dites couleurs, semblaient se déplacer sur la sphère, les unes contre les autres, en respectant la course du soleil.

M. de la Foye repartit des découvertes de ces pionniers et étudia ces émissions en prenant pour support un tronc d’arbre. Là encore, il retrouva les 12 couleurs sur le diamètre du tronc, mais se rendit compte de deux choses : les couleurs semblaient se doubler au-delà du diamètre du tronc et jusqu’au double du rayon du tronc. Il trouva 12 couleurs dites par convention mentale « électriques » et 12 couleurs dites « magnétiques », en clair de polarités opposées. Il trouva aussi que s’il plantait un clou sur ce tronc, la couleur présente au niveau de ce clou était sélectionnée et projetée sur l’axe sud (magnétique terrestre), à 180° d’un cercle dont le 0° serait le nord magnétique -5°. Plus tard, M. de la Foye eut l’idée de désolidariser la course de ces couleurs par rapport au soleil, en rainurant la sphère de bois via un équateur (axes directeurs) et d’y fixer un anneau de sélection (comme le clou de l’arbre). Créant ainsi un émetteur de couleur sélectif : le pendule équatorial.
Reprenant la même méthode il créa ensuite un disque (le disque équatorial) puis la tablette des cercles réciproques.

2/ Les axes directeurs du champ d’émissions dues aux formes

E:\Users\jclemouel\Desktop\Cercles.jpg

Au départ de ses recherches, M. de La Foye suivit les travaux de ses mentors, mais à un moment il se retrouva coincé dans ce langage « couleur » trop restrictif (on était là dans des expérimentations quasi « optiques » si je puis dire, car sans rien de visuel au final). Il lui manquait un procédé de mesure pouvant donner un sens qualitatif à ces mesures. C’est là qu’il fut aidé par M. Jean-Gaston Bardet, architecte et aussi spécialiste de l’hébreu carré. Cette écriture, comme d’autres écritures  anciennes, a cette capacité de reproduire l’énergie développée par le souffle de la prononciation. En clair, si vous écrivez en hébreu carré « ici jaillira de l’eau » et que vous collez ce mot sur un pendule, vous paramétrez automatiquement votre recherche, car selon M. Bardet, il se créait un effet témoin entre le mot et l’objet des recherches. C’est ainsi que M. Bardet débloqua les recherches de M. de La Foye.

Lorsque M. de La Foye étudia le tétragramme hébreu donnant la nature « de Dieu », il se rendit compte que si on mesurait radiesthésiquement chacune des lettres en les rapportant avec les émissions de couleur de la sphère ou du disque émetteur, on pouvait tracer des axes directeurs sur le cercle qui avaient la capacité d’équilibrer définitivement les émissions de la sphère ou du disque : ce qu’il nommait les « axes directeurs du champ de formes » !

Ces axes tracés sur un émetteur ont la capacité de ne jamais saturer ledit émetteur et d’isoler ce dernier de toute influence extérieure : créant un véritable petit univers se suffisant à lui-même : un microcosme

3/ La loi de compensation

La loi de compensation est un dérivé de la loi des semblables utilisé dans la magie opérative. En clair, M. de la Foye s’est rendu compte qu’en dessinant une forme géométrique avec un axe de symétrie tel qu’un cercle, si on posait un objet témoin sur un demi-cercle, on détectait son « fantôme » sur l’autre morceau de demi-sphère. Je vous laisse méditer aux applications pratiques de ce phénomène…

4/ Le champ vital

M. De La Foye, en bon ingénieur agronome, avait aussi étudié les émissions générées par le Vivant. Il s’était rendu compte que la signature du vivant détectable au pendule était manifestée par des séries de cercles se répétant en fractale et se dupliquant, un peu à la manière de la multiplication cellulaire. Là où le vivant semblait se cristalliser par des cercles, le champ physique de la matière, lui, semblait s’y chevaucher, mais sous forme de fractals hexagonaux.


La tablette est donc la synthèse de ces principes !

Elle se compose d’une planchette rectangulaire en bois, d’épaisseur minimum de 2cm découpée dans un matériau de bonne densité pour favoriser le poids de l’émetteur et donc son diamètre d’émission.

Les trous sont la partie la plus importante, car, comme une carte lue sur un orgue de barbarie, elles donnent l’information en faisant passer la planche, d’un objet inerte à un objet possédant des caractéristiques nouvelles (absorption des monopoles magnétiques ou création d’un lien avec le global). Les trous vont non seulement marquer l’existence des trois cercles, mais enclencher la capacité d’accumulation et d’émission de l’objet.

E:\Users\jclemouel\Desktop\me,hir troué.jpg

L’axe vertical et horizontal rainuré va lui aussi ajouter un plus en créant un lien entre les trous principaux, on amplifie la qualité d’émission. Enfin, les axes directeurs du champ de forme vont faire redescendre la fréquence énergétique mesurée en unités Bovis (UB) à un seuil d’équilibre, évitant la saturation de l’émetteur.

Les 3 cercles

Passons au manuel d’utilisation de la planchette.
Elle se compose de trois cercles :
– le cercle nord (car orienté sur le nord magnétique –5° soit au 355°),
– le cercle du centre,
– le cercle sud.

Le cercle nord est le cercle d’origine (point de départ), c’est de lui que part l’émission à générer. Elle peut être une couleur sélectionnée au moyen de l’aiguille traversant de part en part le centre de ce cercle et sur lequel j’ai collé le cadran des 24 couleurs manifestées. 

Le cercle du centre est « le microprocesseur » ou le « coeur » de l’ensemble de la tablette, c’est de lui que partent les axes du champ d’émissions dues aux formes qui équilibrent la tablette. On peut placer sur le centre de ce cercle des amplificateurs (amplificateurs par un ajout de poids ou par d’autres émetteurs d’émissions dues aux formes => boule de pétanque, planchettes rainurées...).

Le cercle sud, répondant aux caractéristiques de la notion de « Loi de compensation », va émettre perpendiculairement au centre de ce cercle, l’émission du cercle nord. On peut y placer le témoin d’une personne à traiter (sur photographie, ou tout autre témoin organique du sujet), un objet à charger (une pierre, un électret, etc.), un contenant et son contenu (produits alchimiques…) ou alors utiliser un fil de cuivre pour guider l’émission jusqu’à une cible ou un autre cercle nord d’une autre tablette : on obtient alors un montage en série.


Vous souhaitez en savoir plus ou commander la Tablette "Cercles réciproques" ? Rendez-vous sur notre page : 

E:\Users\jclemouel\Desktop\cercle.jpg


Nous vous proposons de vous la fabriquer moyennant une participation financière de 50€ (hors frais d’envoi). La tablette sera réalisée par nos soins, sur une planche de chêne d’une épaisseur de 2 cm, selon les proportions indiquées dans le Livre « Ondes de vies, ondes de morts » de M. Jean De La Foye.

A noter la création d'une Nouvelle tablette « Cercles réciproques » en POM (polyoxyméthylène).
2,5kg. 
3,3 cm d épaisseur
30cmx18,6cm, donc proche du nombre d or (30+18,56/30, je suis a 1,62)

E:\Users\jclemouel\Desktop\Geepi\Tablette_résine.jpg

Alors que la planchette en chêne est mesurée 24 000 unités Bovis et 55% de densité vibratoire, ces planchettes d'extérieures sont à 24 000 ub et 75% de densité vibratoire. Donc un gain de capacité d’émission de 20%, amenant à une amplification de l’intensité de la charge et du rayon d’action.

Grâce à sa structure et une haute cristallinité, le POM offre de très bonnes caractéristiques physiques :
  • résistance élevée à la traction et aux chocs ;
  • excellente résistance à la fatigue ;
  • très bonne résistance aux agents chimiques ;
  • excellente stabilité dimensionnelle ;
  • bonnes caractéristiques d'isolation électrique ;
  • bonne résistance au fluage ;
  • faible coefficient de frottement et très bonne résistance à l'abrasion ;
  • large plage de température d'utilisation.
  • Idéal pour un travail géobiologique en extérieur.
E:\Users\jclemouel\Desktop\Tablettes2.jpg

Coût de fabrication de cette planchette, à définir selon nombre de pièces commandées (100 à 180€ l'unité).

Bragi Bellovaque, pour le Geepi

March 17, 2017

Dernier article pour le GEEPI

Vous trouverez ici en ligne le dernier article pour le GEEPI que j'ai écris.


Expériences Radioniques et Magiques

Les expériences radioniques, font parties intégrantes de mon activité professionnelle. Pratiquant à la fois l’Alchimie et la Magie, j’ai créé des outils magiques « dopés » avec des condensateurs fluidiques [1] que je calibre, mixe, et enrichi avec les élixirs que je fabrique. Depuis peu, je tends de plus en plus à faire des « Mandalas » ou des formes géométriques actives avec ces mêmes outils « actifs ».

Je fais ici, une conjonction de graphiques actifs et d’orgonites de mon cru, dans un travail de réunion de la radionique avec mes condensateurs fluidiques pour une action décuplée et puissante. C’est une alliance des ondes de forme, de la radiesthésie, de la magie/énergétique, de l’alchimie, de la radionique, en un tout harmonieux et surtout, fonctionnel.

Je partage ici mon expérience et mes idées, mais loin d’en faire le tour, cela ne restera pour l’instant qu’une première ébauche, donnant quelques constatations et indications de travail.

Premier exemple :



Je place une pyramide de protection [2], et un de mes miroirs noirs en condensateur fluidique universel dessous, pour venir soutenir l’effet de rayonnement, l’amplifier, et créer une porte sur « ailleurs » afin de transférer l’énergie émise depuis la pyramide sur une personne, un lieu, un évènement présent, ou pour l’aider à s’agglomérer dans l’astral (le monde énergétique) pour qu’il s’incarne dans notre monde matériel, dans le « futur ».

De la manière la plus basique qu’il soit, la charge « naturelle » de ces objets les rends déjà actifs sur plusieurs centaines de milliers d’UB (variable), il suffit alors de placer un papier, avec le vœu noté clairement, et disposé les lettres vers le nord – si on veut faire les choses bien,- en dessous de la pyramide, afin d’en orienter les énergies.

Avec un protocole plus complexe de charges, d’orientation, de programmations, de lien au tellurique et d’activations, ce simple dispositif devient étonnant de puissance. Nous développons alors plusieurs centaines de milliers d’Unités Bovis, avec des pics d’intensités frisant parfois le million, et une stabilisation « plus légère » au bout d’un moment.

Voyons un exemple plus complexe maintenant.


Sur cette photo est le cœur de la pyramide (creuse) en condensateur fluidique qui vient par dessus englober le tout. L’idée est de créer un amplificateur d’émission – ici, pas de témoin ou de programme marqué sur un papier, c’est moi qui émets par ma force pensée, par-dessus le pyramidion, en général avec un pendule en condensateur fluidique lui aussi.

Je teste les triples enceintes décagonales qui semblent porter les programmations au mieux. Au centre, un palet en condensateur fluidique pour porter une charge, dessus, 6 triskells en condensateurs universels (noirs, magnétiques) et en cire d’abeilles (plutôt électriques), mais les deux ayant tout de même une nature universelle (capable de capter, charger, restituer n’importe quelle type de force), afin de porter les énergies, les orienter en vortex afin de les dynamiser.

Ceci crée alors une sorte de pilier Djed, ou batterie avec des pôles +/-/+/- … Mais je n’en suis qu’aux tests pour l’instant… J’insiste bien sur le fait que cet exemple est un test afin de mieux comprendre le fonctionnement général des matières, des graphiques…

Cependant, voyons l’idée de base derrière ces outils :

Le Triskell, émet un TVB de 30 000 (en gros). En condensateur fluidique c’est variable selon la charge et sa qualité, mais c’est un plafond bas dans ces taux là pour une matière telle que celle-ci. Ils arrivent au niveau de la chambre du Roi[3]. Il y a un effet de stabilisation de l’énergie émise et permet aussi de compléter les énergies émises en fluides électriques et magnétiques.

En pilier cela crée un long tunnel énergétique, créant un double entonnoir en sens horaire. Je les retourne si je désire renvoyer quelque chose (énergies négatives, décharger…), plaçant ainsi le vortex du triskell dans l’autre sens, anti horaire.

Le palet en condensateur fluidique (disque noir en dessus des triskells), permet d’amplifier le rayonnement, mais aussi de faire batterie pour capter et stocker au besoin les forces captées par la pyramide.

L’enceinte triple décagone, permet généralement de revivifier les témoins au centre de ce dernier. Ici, l’idée est de revivifier, dynamiser, mais aussi amplifier la programmation donnée (grâce au palet de charge au centre).

La pyramide, non représentée sur l’image, pèse dans les deux kilos, et est en condensateur fluidique universel. Sa nature est de faire effet de masse, captation et émission d’énergies.

Le bol chantant était là en test, afin de vérifier l’idée de l’activation d’un tel protocole avec un son. D’autres tests de cette nature sont en cours. Mais j’ai pu remarquer un effet sur les énergies du dispositif avec le bol. Ce qui permet de penser qu’il est possible de déclencher une activation avec un mot, un son, un geste, comme avec les miroirs magiques. Il reste à déterminer l’effet exact de ce son, si c’est un apport d’énergie particulière, si cela déclenche tout, si cela active la captation, si au contraire cela est négatif… Je penche pour une activation du dispositif par l’effet de cymatique (forme 3D du son, qui est géométrique, dégageant alors une énergie qui est captée par le Mandala ou la « machinerie Orgonique »).

Note : Des graphiques géométriques comme de la cymatique, des formes géométriques naturelles (pomme de pin, fleurs, fractals, nautile…ou encore des cristaux de neige ou d’eau comme l’a étudié Masaru Emoto) ou inventées comme des figures de crop circles, peuvent être intéressantes pour sélectionner les énergies captées par un tel dispositif. On vérifiera alors le bien fondé par une étude au pendule ou tout autre moyen de détection afin de ne pas « tout mélanger ».

Enfin le tout est orienté au Nord. Je pense qu’un tel dispositif, plus il est simple au départ plus, il est facile de le contrôler.

Un autre exemple test :



Ici une expérience pour créer l’harmonie et une atmosphère d’amour.

La répartition des orgonites a été faite intuitivement, comme l’usage d’un triangle. Le témoin est placé sous la Heartgonite (Cœur) principal. Les trois plus petites sur les angles ont été placées instinctivement comme pour « adoucir » la figure triangulaire et aussi, énergétiquement, l’alourdir et lui donner du poids et de l’harmonie dans son design.

L’harmonie dans le Mandala est une chose très importance pour sa fonction. C’est une chose à ne pas négliger. Sous peine de rendre bancal un système et le rendre plus dysfonctionnel qu’autre chose. L’axe central ou l’outil central est ce qui est alors majeur. Il doit toujours y avoir une logique de répartition selon le but voulu. Mais dans tous les cas, la pièce majeure se doit d’être au centre.

Je dispose le tout sur un « Triangle d’Evocation », généralement usité en magie cérémonielle.

Ce « Triangle de l’Art », est normalement utilisé pour manifester les énergies (sous forme visible parfois). Il est clairement lié à un égrégore Divin par les trois noms qui sont sur le pourtour.

Les Triskells sont sur chaque syllabe du nom de l’archange protecteur et gardien « Mi, Cha, El » et les dynamisent pour en augmenter la force.

Les trois cœurs ont aussi été placés en tant qu’activateurs extérieurs, car ces orgonites ont une pulsation énergétique (comme un cœur réel en somme), qui pompent depuis l’extérieur l’énergie qui est attirée depuis l’intérieur. Créant alors un effet de flux et d’aspiration continu.

Je testerai avec les pointes des cœurs vers l’extérieur une prochaine fois afin de voir si cela modifie quelque chose au fonctionnement général de ce dispositif.

Conclusion :

Les formes sur planche, en noir et blanc, ou encore les talismans ne sont pas très bons pour tenir des charges énergétiques, mais par contre, très indiqués pour donner un structure, un cadre d’action, et pour « tenir » une programmation, une signature, et ainsi, promouvoir une orientation de l’énergie et donner un sens.

Sans elles, il est possible de créer un Mandala organisé géométriquement avec des composants de charge (orgonites).

Par exemple :


L’effet de masse a aussi son importance, le premier dispositif pèse avec la pyramide dans les 3 kg, et le second environs 2. Energétiquement, la masse importe pour capturer, et stocker, activer les énergies, ainsi que les formes symboliques et actives (triskells, pyramide) et phénomènes de résonnance avec les archétypes de l’organe en question (ici le cœur par exemple).

Quelque chose de concret, ayant une base physique aura plus de capacité à incarner certaines forces et à rayonner puissamment.

Je pense qu’il est, – dans le cadre d’un Mandala de ce type, d’un « dispositif » actif, – d’importance de lier à la fois un cadre structurel, ayant un sens, et géométrique, sur papier ou par répartition d’orgonites et y lier un effet de masse à forme active pour dynamiser, porter la charge et amplifier la captation des énergies.

Les deux ensemble permettent alors un fonctionnement optimal dans le but d’agir à distance ou localement.

Ces outils cependant demandent tout de même une connaissance parfois approfondie de ce type de « machinerie » énergétique.

L’onde de forme locale (chaque outil) et globale (le Mandala en lui-même) de ce type de dispositif doit être toujours lié à une harmonie, c’est-à-dire : Organisé géométriquement et harmonieusement autour d’un point central et ou, d’un axe central majeur.
La logique de fonctionnement doit pouvoir s’expliquer clairement.

Le dispositif doit être orienté selon un but, et non laissé à lui-même. Ou alors il doit être désactivé et démonté.

Les flux énergétiques suivent toujours les chemins les plus courts et les lois de vases communicants.

Avec tout cela en tête, nul doute que de bons résultats se feront rapidement jour.

J’ai pu avoir les preuves moi-même de déblocages de situations, du matin à l’après midi même.

Je déconseille les personnes ayant des soucis cardiaques de faire des Mandalas actifs de nature Martiennes ou liées au feu, ou alors étant de petite taille.

Les forts taux énergétiques dégagés par ces outils (plusieurs millions d’UB lors de charges rituelles) font fortement tousser les personnes cardiaques, et je déconseille d’exposer les enfants, bébés, et femmes enceintes à ces dispositifs.

On notera une diminution de la charge de ces « machineries » en fonction du but/souhait engagé, d’où l’importance de recharger les machines – bien qu’elles « captent » pour certaines toutes seules, soit depuis le tellurique, soit depuis le cosmique, le proxi, ou les trois (le proxi : l’énergie la plus proche, c’est parfois vous ou votre voisin…d’où l’importance de savoir où aller alimenter votre orgonite ou votre Mandala !).

On les recharge par de l’énergie : Musique, bols chantants, bougies, encens, chants, prière, mantras, phrases « d’auto suggestion » (mantra laïque en somme), visualisation d’énergie qui descendent, magnétisation, et rituels magiques simples (activation au pendule au dessus de l’orgo centrale, rituels d’appel, invocations, etc).

Certaines s’activent en fonction du cycle lunaire, d’autre solaire, et parfois de variations jours/nuit tout simplement, si elle est branchée sur le tellurique, cela peut aussi varier selon les cycles.

Parfois encore, selon des cycles qui nous sont encore inconnus ou mal répertoriés (pas uniquement astrologique, mais d’un autre cycle difficile à percevoir).

La météo, la saison, la latitude/longitude, pression atmosphérique, hygrométrie, vent, nature du terrain, travailler à l’étage ou au rdc, etc, peuvent avoir une influence. Il est parfois difficile de paramétrer tout ça. Je dirais qu’il faut faire au mieux, voire au moins pire.

Certains outils créent une brume, un vortex de brouillard qu’il est facile de voir à l’œil nu, face à un fond sombre. Parfois présent, parfois pas, selon souvent le cycle lunaire. La pleine lune alors, étant très intéressante pour tester certaines formes d’énergies. Il y a alors bien un effet du cycle sur ces Mandalas, mais aussi sur chaque outil à portée énergétique.

Je pense que si les règles de base sont respectées, alors il n’y a pas de danger. Mais on peut parfois être surpris. Je me suis plusieurs fois retrouvé repoussé physiquement par une force sortant d’un miroir magique[4], ou encore ayant été comme « physiquement frappé » par l’énergie se dégageant d’une pyramide de protection que j’avais installé dans un grenier – imaginez un coup de vent brusque, c’est pareil. Le simple fait de l’avoir posée – sans orientation ni programmation, l’a activée d’un bloc et de manière un peu violente, comme si l’outil « savait », mais n’est ce pas moi ou la propriétaire qui l’avons indirectement programmée à s’activer là ?

La propriétaire, non habituée aux énergies de ce type, s’est alors senti oppressée dans la poitrine, et a beaucoup toussée[5].

Tout ceci peut se calibrer et s’activer, se charger/décharger, dé/programmer au pendule ou par la volonté et le magnétisme. D’où aussi une certaine habitude pratique de ces facultés si l’on souhaite aller dans les fonctions avancées de ces outillages énergétiques, parfois complexes.

Comme pour tout, il y a une logique, et s’y tenir permet d’être garant d’une sécurité optimale.



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[1] Matière naturelle ou transformée spagyriquement ou alchimiquement, qui a des capacités de captation, et de  stockage d’une « longueur d’onde » particulière sans la déformer, d’une énergie, et d’une programmation.

[2] Un outil qui porte en son sein  un dispositif particulier, comprenant un mélange spécial d’élixirs, de matières métalliques et minérales, qui ont toutes des particularités liées à la protection, ceci pour créer un large spectre répulsif et nettoyant, tout en développant  sa force d’émission.

[3] Au premier tiers de la hauteur de la pyramide, en partant de la base, se trouve un endroit où le pouvoir de la pyramide (pouvant se traduire par « feu au milieu ») se trouve concentré. Un triskell en cire d’abeille a d’ailleurs été décoloré en partie, suite à une exposition de deux mois.

[4] Après un travail avec un Saint, ou une énergie Christique.

[5] Elle a une tachycardie bénigne, mais je pense à autre chose qu’une simple réaction à l’énergie, je pense à un possible parasitage énergétique, que la pyramide a pu perturber.

March 01, 2017